Dans mon article précédent, je vous ai fait découvrir le Oolong d'Alishan d'hiver 2019. Ce thé a toutes les qualités d'un Oolong de haute montagne et un super rapport qualité/prix. La question se pose donc: pourquoi payer 3 fois plus pour un Oolong de très haute montagne planté 1000 mètres plus haut?
Qu'est-ce qu'ils ont de plus les grands Lishan, Fushou Shan, Da Yu Ling ou Tian Chi?
Pour moi, la différence est celle de la clarté et de la pureté. Ces photos illustrent bien cette impression de passer d'une définition moyenne à de la haute définition! Pour réussir des photos d'une telle précision, il faut que toutes les conditions soient remplies: bon appareil, bon objectif, sujet attractif, belle lumière.
Pour ces Oolongs de très haute montagne, il n'y a pas non plus de maillon faible: plantations très bien entretenues, moins d'insectes en haute montagne, des conditions météo excellentes (soleil et fraicheur), des producteurs très expérimentés et une sélection rigoureuse.
Cette quasi absence de maillon faible et tous ces plus en termes de qualité permettent d'obtenir des Oolongs encore plus purs et précis, surtout si on les infuse bien, avec une belle théière en zhuni d'Yixing!
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