Que ce soit une fête de la nostalgie, d'après
cet article avec François Walter, de l'espérance ou de la bonne chair, j'espère que vous avez bien fêté Noël ce weekend. Les traditions ne valent la peine d'être perpétuées que si elles apportent de la joie et un sens à la vie!
Avec ce thé vert Longjing de fin mars 2006 (!), je combine la nostalgie du passé, l'espoir d'un thé bien conservé et des arômes délicieux! On remarque à l'étiquette que c'est un thé âgé, car ce design a beaucoup évolué depuis.
Par cette belle journée ensoleillée de fin décembre, j'ai envie de fêter la Saint-Etienne (ma fête!) avec un thé d'une pureté exceptionnelle. C'est pour rester dans la nosalgie et le moment spécial que j'opte pour les derniers grammes de ce thé vert, patiemment âgé (sous vide) pendant plus de 10 ans. Et je le prépare avec ma théière DeHua, car je me rappelle encore de cette
expérience de 2005, où le longjing fut si délicieux quand préparé dans un gaiwan de DeHua!
La couleur de l'infusion vire maintenant vert le jaune orangé très clair et transparent. Ce qui frappe, c'est la finesse et la pureté des arômes, des sensations en bouche... Il y a des notes nouvelles, délicieuses et indescriptibles. Les notes fraiches sont devenues plus gourmandes et sucrées/fruitées. Mais la force presque effervescente de ce thé perdure.
La nostalgie consiste à faire
revivre le passé dans l'instant présent!
Les thés âgés avec soin (
Oolongs,
puerhs, rouges ou verts) ont de la grâce, de la finesse et une magie intemporelle. Plus les années passent, plus je goûte leur plaisir pur dans ces moments de vie.
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Certains thés se transforment en or! |
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